La Galerie WallWorks, avec le travail qu'elle effectue pour soutenir la scène actuelle du graffiti, a bien évidemment sa place dans cette publication référentielle. Les artistes qu'elle représente et avec qui elle collabore y sont présents : Tilt, Colorz, Alex et Lazoo. Un portrait de Claude Kunetz, le directeur de Wallworks, permet d'en apprendre plus sur l'histoire de la galerie et les coups de coeur de ce galeriste convaincu.
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Consacrée au Street Art, la galerie Wallworks fête son premier anniversaire avec "Ne pas effacer". Elle propose aux pionniers du graff et du tag de s'exprimer sur du mobilier urbain. Plaques de rue, plans de métro, cabines téléphoniques...

Lancée il y a tout juste un an par le producteur de cinéma, Claude Kunetz, la galerie Wallworks fête l’événement avec une exposition collective et festive en invitant une vingtaine d’artistes à revisiter en couleur un mobilier urbain vintage.

Dans le sillage d’agnès b., les galeries Magda Danysz, Le Feuvre, Wallworks, Itinerrance, Backslash montrent la version toile de ces artistes et font un carton ! “La génération d’acheteurs d’aujourd’hui a grandi avec la culture graffiti dans la rétine”, explique Lazoo.

Depuis le 9 mars et jusqu'au 30 juin, la galerie Wallworks, rue Martel, à Paris (10e), accueille une exposition collective autour du mobilier urbain.
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Plaques de rue, feux tricolores, panneaux de signalisation, cabines téléphoniques, portes de bus : le mobilier urbain n'est pas épargné par les graffeurs.
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Pour célébrer le premier anniversaire de la galerie Wallworks, Claude Kunetz présente une exposition collective de graffiti sur mobilier urbain avec 19 street artistes.

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Le graff sort de la rue mais surtout de son mode usuel de présentation en galerie… pour mieux y revenir ! Les 19 graffeurs ne s’expriment ni dans la rue ni sur toile, mais sur mobilier urbain vintage – plaques de rue, plans de métro, cabines téléphoniques, plaques émaillées de stations de métro, sièges et portes de métro, feux signalétiques, panneaux de signalisation, plaques et arrêts de bus, boîtes aux lettres, etc. – et mobilier urbain contemporain, de la poubelle à la plaque d'égout, en passant par le lampadaire public.

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La petite dernière des galeries parisiennes dédiées au graffiti a déjà un an. En guise d’anniversaire, Wallworks s’offre un pied de nez à la politique du mur blanc avec l’exposition « Ne pas effacer ». Elle réunit une vingtaine d’artistes français, singapourais ou américains, parmi lesquels Jonone, Lazoo, Kongo, Der, Crash, Colorz ou Nebay, mais aussi Tilt, figure du graffiti toulousain version 90’s, dont le dernier fait d’armes est d’avoir réalisé à Londres un monumental drapeau anglais avec les paroles d’Anarchy in the UK.