Il faut du temps pour appréhender le travail de Zepha, pour se plonger dans la complexité des découpes du bois et tenter d’en saisir les cheminements. La matière est transcendée par un souffle qui circule...
L’artiste allemand revient à Paris pour une première exposition solo (…) Au mur, le résultat ressemble à de vastes maquettes de quartiers renversés, d’un réalisme perturbé par une bourrasque de poésie… Un artiste à suivre.
Elodie Cabrera | Graffiti Art Magazine | octobre/novembre 17Enserrées par des lignes rigides, morcelées par les catastrophes naturelles, les constructions topographiques de ce plasticien allemand évoquent une urbanisation contemporaine entre fission et densité, or et poussière. Cet architecte du détail module avec patience une œuvre à la fois complexe et fragile qui s’inspire de l’imagerie satellite, et dévoile l’empreinte de l’homme sur la planète. Zoom sur un artiste qui aime prendre de la distance...
Nicolas Gzeley | Stuart Magazine | septembre/octobre 17Par un minutieux travail de construction, Hendrik Czakainski met en scène le désastre de la globalisation, de l’industrialisation massive et des mutations démographiques qui en découlent. L’artiste allemand souligne, par l’architecture, l’esthétique d’une destruction sociale. Vus du ciel, ses bidonvilles déshumanisés oscillent alors entre ordre et chaos jusqu’à l’abstraction. Visite guidée d’un cauchemar humanitaire, esthétisé avec brio...
La Galerie Wallworks présente l’exposition TanDEM-X de l’artiste allemand Hendrik Czakainski, une réflexion singulière autour du monde et des environnements modernes, à l’ère de la modélisation et de la cartographie terrestre...
« Toutes mes œuvres sont des compositions abstraites fortement inspirées par la réalité. (…) J’oscille sans cesse entre ordre et chaos, norme et déviation, le concret et l’abstrait. » Hendrik Czakainski.
Le monde vu de l’espace, presque dénaturé, c’est ce qui intéresse Czakainski. Un monde aux normes mouvantes, qui se modélise lorsqu’on l’observe de loin pour former des amas d’architecture qui semblent avoir été désertés par l’humanité...
L’exposition, fait référence aux noms des satellites radar (...) pour collecter plusieurs échantillons d’images. Ces derniers ont permis de réaliser des compositions abstraites aux formes semblables aux vestiges d’un monde futur vu du ciel où la présence humaine est figurée par les lignes et les formes de tracés architecturaux urbains...